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Vos revues, votre avis : vos retours !

De nombreux chercheurs ont répondu à notre brève enquête de septembre: premier bilan

Vous avez été nombreux (presque 200 !) à répondre aux deux questions de notre enquête de septembre :
- Quelles sont les 3 revues que vous consultez ?
- Quelles sont les 3 revues où vous publiez ?

Des communautés se sont plus particulièrement mobilisées (les chimistes, les mathématiciens, les astronomes…) de  même que certains centres de recherches (ICBMS, ICJ, CRAL…).

A tous merci ! Vos avis nous permettent de mieux cerner vos besoins dans leur diversité.
Trois remarques en forme de premier bilan

L’unité, c’est l’article
Beaucoup d’entre vous nous ont fait remarquer le caractère limitatif des questions :
"Seulement 3 revues sont demandées, mais il y a une grosse dizaine de revues que je consulte de manière régulière et disons 5 ou 6 revues dans lesquelles je publie."
Nous l’avons compris, pour vous l’unité, c’est l’article.
Cependant le modèle économique dominant pour les revues reste l’abonnement à un titre ou à un bouquet...

Des besoins satisfaits…en partie
322 titres ont été cités pour les revues consultées et 343 pour les revues dans lesquelles vous publiez. Nous avons distingué trois catégories :
- Les revues auxquelles l’UCBL est abonnée : elle représente dans les deux cas les 2/3 des revues citées
- Les revues pour lesquelles vous disposez d’un accès partiel (embargo sur la dernière année notamment) : elles totalisent 17% avec un point noir, l’éditeur Springer dont l’université s’est désabonnée en 2016
- Les revues pour lesquelles vous ne disposez d’aucun accès : elles représentent également 17% des réponses avec, souvent citées, les publications IEEE qui ne sont malheureusement plus disponibles à l’UCBL depuis cette année.

Le poids de quelques éditeurs mais…

Les « grands » éditeurs scientifiques généralistes se taillent la part du lion avec au premier chef d’entre eux Elsevier qui totalise 85 titres (sur 322 cités) pour les revues consultées et 98 titres (sur les 343 mentionnés) pour les revues dans lesquelles vous publiez. Viennent ensuite Wiley, Nature et les grandes sociétés savantes : ACS, APS, RSC, AIP…
Cependant le nombre significatif de revues Open Access citées semble indiquer une transition en cours du modèle économique éditorial et des pratiques de publication des chercheurs. Mieux connaître les pratiques des chercheurs permettra d’adapter la politique documentaire de l’Université au plus près des besoins.

Publié le 24 octobre 2017 Mis à jour le 3 novembre 2017